La peur de subir des coûts inattendus à l’achat de votre première maison vous empêche-t-elle de dormir ? Vous n’êtes pas seuls !
Un sondage récemment publié par la Banque TD révélait que 41 % des premiers acheteurs québécois craignent d’oublier une étape cruciale dans l’acquisition de leur maison. De plus, 62 % des Québécois s’inquiètent d’être surpris par des frais imprévus au cours du processus d’achat.
Voici trois conseils pour vous préparer à éviter les surprises.
1- Limitez votre endettement
Les dépenses qui suivent l’acquisition d’une première maison sont nombreuses, et une qualification à un prêt hypothécaire n’est pas gagnée d’avance. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, vous avez tout intérêt à limiter vos dettes avant de vous faire préapprouver à la banque, ou du moins à éviter tout endettement superficiel (par exemple, un prêt pour l’acquisition de l’auto de l’année).
2- Listez vos dépenses
Trop de premiers acheteurs commettent l’erreur de magasiner uniquement en fonction du paiement hypothécaire. En réalité, il faut souvent doubler le montant mensuel dédié à l’hypothèque, puisque plusieurs dépenses viennent s’ajouter :
Le déménagement ;
Les taxes municipales ainsi que les droits de mutation ;
Les frais d’électricité, de chauffage, de gaz ;
Les frais du service de télédistribution, d’internet et le téléphone ;
Une assurance habitation ;
Une assurance invalidité pour votre hypothèque ;
De nouveaux meubles ;
L’entretien de votre propriété ;
Des frais de copropriété (si votre nouvelle maison se trouve en copropriété) ;
Des rénovations ;
Le remboursement de votre REER. (Si vous avez utilisé le régime d’accession à la propriété)
3- Connaissez vos besoins hypothécaires
Vous aurez à choisir le bon prêt hypothécaire, puisqu’ils ne sont pas tous les mêmes. Ainsi, il faudra vous poser plusieurs questions, par exemple : souhaitez-vous verser moins de 20 % du prix d’achat à titre de mise de fonds ? Si vous en avez la capacité, vous serait-il profitable de verser 20 % ou plus ?
Ou encore : opterez-vous pour un taux hypothécaire ouvert (que vous pouvez, en tout ou en partie, rembourser plus rapidement sans pénalité) ou fermé ?
Le premier est souvent accompagné d’un taux d’intérêt plus élevé que le second. Il faudra également réfléchir à la durée (au terme) du prêt.
Un conseiller à la banque ou un courtier hypothécaire pourra certainement vous aider à y voir plus clair. Mais le mieux que vous puissiez faire, c’est de vous informer au maximum avant de rencontrer l’un ou l’autre de ces spécialistes.
La peur de subir des coûts inattendus à l’achat de votre première maison vous empêche-t-elle de dormir ? Vous n’êtes pas seuls !
Un sondage récemment publié par la Banque TD révélait que 41 % des premiers acheteurs québécois craignent d’oublier une étape cruciale dans l’acquisition de leur maison. De plus, 62 % des Québécois s’inquiètent d’être surpris par des frais imprévus au cours du processus d’achat.
Voici trois conseils pour vous préparer à éviter les surprises.
1- Limitez votre endettement
Les dépenses qui suivent l’acquisition d’une première maison sont nombreuses, et une qualification à un prêt hypothécaire n’est pas gagnée d’avance. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, vous avez tout intérêt à limiter vos dettes avant de vous faire préapprouver à la banque, ou du moins à éviter tout endettement superficiel (par exemple, un prêt pour l’acquisition de l’auto de l’année).
2- Listez vos dépenses
Trop de premiers acheteurs commettent l’erreur de magasiner uniquement en fonction du paiement hypothécaire. En réalité, il faut souvent doubler le montant mensuel dédié à l’hypothèque, puisque plusieurs dépenses viennent s’ajouter :
Le déménagement ;
Les taxes municipales ainsi que les droits de mutation ;
Les frais d’électricité, de chauffage, de gaz ;
Les frais du service de télédistribution, d’internet et le téléphone ;
Une assurance habitation ;
Une assurance invalidité pour votre hypothèque ;
De nouveaux meubles ;
L’entretien de votre propriété ;
Des frais de copropriété (si votre nouvelle maison se trouve en copropriété) ;
Des rénovations ;
Le remboursement de votre REER. (Si vous avez utilisé le régime d’accession à la propriété)
3- Connaissez vos besoins hypothécaires
Vous aurez à choisir le bon prêt hypothécaire, puisqu’ils ne sont pas tous les mêmes. Ainsi, il faudra vous poser plusieurs questions, par exemple : souhaitez-vous verser moins de 20 % du prix d’achat à titre de mise de fonds ? Si vous en avez la capacité, vous serait-il profitable de verser 20 % ou plus ?
Ou encore : opterez-vous pour un taux hypothécaire ouvert (que vous pouvez, en tout ou en partie, rembourser plus rapidement sans pénalité) ou fermé ?
Le premier est souvent accompagné d’un taux d’intérêt plus élevé que le second. Il faudra également réfléchir à la durée (au terme) du prêt.
Un conseiller à la banque ou un courtier hypothécaire pourra certainement vous aider à y voir plus clair. Mais le mieux que vous puissiez faire, c’est de vous informer au maximum avant de rencontrer l’un ou l’autre de ces spécialistes.
CONSEILS
Prenez le temps qu’il faut pour trouver la couverture d’assurance habitation qui vous convient. Celle-ci vous en coûtera quelques centaines de dollars par année, et vous permettra d’éviter de mauvaises surprises s’il devait survenir un sinistre ou d’autres catastrophes.
Prenez de l’avance. Dès que vous songez à devenir propriétaire, renseignez-vous sur les étapes pour y parvenir. Faites préapprouver votre prêt. N’attendez pas à la dernière minute, puisque vous ferez inévitablement des erreurs qui nuiront à vos finances.
Les retardataires ne sont jamais gagnants en immobilier. Posez des actions dès maintenant ; magasinez le meilleur taux, appelez un courtier et prenez le temps qu’il faut pour visiter plusieurs maisons.
Rodrigo Bustos
800, rue Principale, bureau 308
Granby (Québec) J2G 2Y8
Sans frais : 1 866 550-0414
Téléphone : 450 361-0808
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