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Assurance : les Canadiens ne sont pas assez couverts

6 décembre 2018

Même s’ils jugent que leur situation financière est inquiétante, beaucoup de Canadiens ne sont pas prêts pour autant à renoncer à s’offrir certains petits plaisirs de la vie, selon un sondage publié mardi par RBC Assurances.

Celui-ci révèle en effet que la majorité des 25-50 ans se font du mauvais sang pour leurs finances, au point que les trois quarts (74 %) d’entre eux en perdent le sommeil. Leurs autres motifs de préoccupation sont, dans l’ordre, leur santé et leur bien-être (72 %) et la sécurité financière de leur famille s’ils n’étaient plus là pour subvenir à ses besoins (58 %).

Pourtant, malgré ces préoccupations, seuls une faible proportion des répondants se disent prêts à renoncer à certains luxes ou commodités lorsqu’ils auraient la possibilité d’accroître leur sécurité financière au moyen d’une assurance vie.

« PETITS PLAISIRS DE LA VIE »

Concrètement, le sondage montre que 21 % des personnes non couvertes par une assurance ne sont pas disposées à renoncer aux « petits plaisirs de la vie » en échange d’une assurance vie. Et parmi celles qui sont prêtes à le faire, à peine plus du tiers renoncerait à une sortie au restaurant (35 %) par mois, à un vêtement à la mode (34 %), à une sortie au restaurant par semaine (28 %), à une bouteille de vin ou à une caisse de bière (35 %), voire à un café par jour (25 %).

L’enquête d’opinion indique par ailleurs que près de quatre Canadiens sur 10 n’ont pas d’assurance vie et que ceux-ci sont beaucoup moins susceptibles que les autres de croire en la capacité de leur famille de payer toutes sortes de choses s’ils venaient à décéder sans être assurés adéquatement. Dans ce cas, leur principal motif d’inquiétude porte sur la nourriture, les vêtements et la couverture d’autres besoins essentiels : ainsi, seuls 67 % des premiers croient que leurs proches parviendraient s’en sortir financièrement, contre 87 % de ceux qui possèdent une assurance.

Les autres sources de préoccupation les plus souvent mentionnées par les personnes non assurées concernent le financement des transports (60 % d’entre elles se disent inquiètes dans ce domaine pour leur famille en cas de décès, comparativement à 75 % de leurs homologues assurés), le remboursement d’un prêt hypothécaire ou le paiement d’un loyer (54 % contre 71 %), et enfin les frais de garderie ou les études des enfants (51 %, par rapport à 73 %).

« IL SUFFIT DE PRESQUE RIEN »

À noter qu’un plus grand nombre de sondés envisageraient de souscrire une assurance vie si un membre de leur famille le leur suggérait (54 %) ou s’ils savaient que leurs amis en ont déjà une (35 %).

« Il suffit d’apporter quelques petits changements à son style de vie, comme préparer son café ou son repas du midi à la maison, voire acheter un article de moins, pour avoir les moyens de souscrire une assurance et retrouver le sommeil. Ce sont là de petits sacrifices qui peuvent assurer la sécurité financière future de sa famille et de ses proches en cas de décès, et leur épargner éventuellement des difficultés financières à long terme lorsqu’ils ne peuvent plus compter sur le revenu du disparu », souligne Maria Winslow, directrice générale principale, Assurance de personnes à RBC Assurances.

Le sondage a été mené en ligne du 17 au 19 juillet par Ipsos auprès d’un échantillon de 1 001 adultes âgés de 25 à 50 ans. Ses résultats sont exacts à ± 3,5 points de pourcentage près, 19 fois sur 20, par rapport aux résultats qui auraient été obtenus si l’ensemble des Canadiens de 25 à 50 ans avaient été consultés.

Source: Conseiller

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