Même s'il est probable que vous n'ayez que très rarement envie d'aborder le sujet, les assurances personnelles méritent toute votre attention... surtout quand un changement de vie survient de votre côté. Vos couvertures vie, santé et invalidité actuelles répondent-elles à votre réalité d'aujourd'hui ? Êtes-vous suffisamment informé pour prendre les bonnes décisions ? Mettez vos connaissances au défi !
Ce mois-ci, SUITE et Desjardins s'associent pour nous aider à mieux comprendre nos besoins en assurance personnelles
A) Un salaire annuel de 50 000 $ et 0 $ en cas d'invalidité
B) Un salaire annuel de 49 000 $ et 90 % du revenu net en cas d'invalidité
Bonne réponse : B
« On a tendance à tenir compte seulement des chiffres bruts, mais si un employeur offre une assurance collective, ça vaut quelque chose », soutient Nathalie Tremblay, spécialiste en assurances vie et santé chez Desjardins. Que vous soyez jeune ou moins jeune, les risques d'invalidité concernent tout le monde. Et comme la plus grande valeur d'une personne qui entre sur le marché du travail est sa capacité à générer un revenu pendant une longue période de temps, une évaluation de la couverture doit toujours peser dans la balance.
Si votre employeur n'offre pas d'assurance collective, vous pouvez débourser vous-même le coût d'une assurance individuelle. Vous renoncez ainsi à une partie de votre revenu pour bénéficier d'une tranquillité d'esprit.
A) Pas forcément
B) Absolument
Bonne réponse : A
Avant de prendre toute décision, mieux vaut bien faire le tour de la question et en discuter avec votre conseiller en sécurité financière. « Il ne faut pas oublier qu'une assurance collective est liée à l'employeur. Le jour où vous quittez un emploi, vous pouvez transformer l'assurance vie collective en une protection individuelle, mais ce n'est pas le cas pour l'assurance invalidité. Si vous êtes toujours en santé, vous pourrez l'obtenir à nouveau, mais à un prix plus élevé puisque vous serez plus âgé », explique Nathalie Tremblay.
A) Oui
B) Non
C) Ça dépend de la couverture
Bonne réponse : B
Les assurances collectives ne couvrent jamais le conjoint en cas d'invalidité.
« On imagine souvent une catastrophe quand on pense à l'invalidité, mais les troubles musculosquelettiques, comme les maux de dos et les tendinites, sont des ennuis de santé qui peuvent rendre une personne invalide », précise l'experte en assurances.
A) Oui
B) Non
C) Pas nécessairement
Bonne réponse : A
Qui dit nouvelle maison dit aussi nouvelles responsabilités financières. La première étape consiste à faire une analyse des couvertures actuelles. Dans un monde idéal, celles-ci devraient couvrir le montant de l'hypothèque et celui des engagements financiers afin d'assurer le maintien du niveau de vie des proches. « On doit se poser la question suivante : en cas de décès, est-ce que je souhaite léguer une maison ou une hypothèque à ma famille? », soulève Nathalie Tremblay.
A) Préparer un testament et un mandat en cas d'inaptitude
B) Faire une analyse des besoins en ce qui a trait aux protections personnelles
C) Toutes ces réponses
Bonne réponse : C
« L'arrivée d'un enfant devrait toujours rappeler aux parents l'importance non seulement de rédiger leur testament et leur mandat en cas d'inaptitude, mais aussi de prendre le temps de revoir leurs protections personnelles », insiste Nathalie Tremblay, de Desjardins. Ces deux étapes sont essentielles pour minimiser les répercussions financières en cas d'accident, de décès ou de maladie. Maison, études supérieures, activités sportives : tout doit être pris en considération !
Source: La Presse
Rodrigo Bustos
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