Comment réagit-on quand on sait, à 51 ans, qu'on peut partir à la retraite quand on veut, et ce, très confortablement ?
Qui ne rêve pas de devenir un jour propriétaire de sa maison? Aux paiements hypothécaires, taxes municipales et scolaires et autres dépenses reliées à la maison s’ajoute souvent l’assurance vie. Les acheteurs peuvent en souscrire une soit directement auprès de l’institution prêteuse, soit auprès d’une compagnie d’assurance. Alors que choisir ?
On entend souvent parler de l’investissement socialement responsable (ISR), mais dans les faits il reste très difficile pour les investisseurs de choisir des portefeuilles et des titres en étant sûrs qu’ils correspondent à leurs valeurs.
La dette est un mal nécessaire pour nombre de Canadiens. Si beaucoup considèrent leurs dettes comme un fardeau, ce n’est pas toujours le cas. Parfois, il est plus pertinent d’investir plutôt que de vouloir rembourser à tout prix ses dettes.
La plupart des entrepreneurs passent des milliers d’heures dans leur vie à faire croître leur entreprise et seulement quelques heures à préparer leur relève. Un plan de relève permet d’optimiser la valeur de l’entreprise, de planifier l’avenir et de réagir promptement lorsqu’un investisseur, un associé ou un acheteur se manifestera.
Le concept de retraite n’est pas très attrayant pour un jeune dans la vingtaine ou la trentaine. Se mettre à la retraite, c’est se mettre à l’écart, se retirer. De quoi ? De la société, de la vie active, de ses amis, du travail qui nous passionne ? Vu sous cet angle, c’est lourd. N’est-ce pas ?